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Horloge murale, vers 1837 item
Horloge murale, vers 1837
800 $
L'industrie horlogère du Québec n'a jamais été très florissante, malgré ses quelques fabricants marquants. Ce sont plutôt les industries américaines des États limitrophes, comme la Nouvelle-Angleterre ou le Connecticut, qui ont rapidement gagné le marché nord-américain. Cette horloge murale fait exception, et est l'une des seules qui ont été fabriquées au Québec, par l'artisan Porter Kimball à Stanstead. Il s'agit d'une pièce d'horlogerie rarissime ; il n'en subsisterait qu'une douzaine comme celle-ci. Don de Maurice Lemay, antiquaire réputé et collectionneur sherbrookois, 1962. Numéro d'inventaire : 1989.1124
Contrat de construction du pont Narrows, 1881 item
Contrat de construction du pont Narrows, 1881
300 $
Le pont Narrows est un pont couvert qui traverse Fitch Bay sur le lac Memphrémagog. Ce pont fut construit par Charles et Alexander MacPherson, de Georgeville, pour la somme de 775 $. Le contrat fait part de chaque détail de la construction de la structure : les fermes devaient être du style Town; la cambrure devait mesurer exactement 2,5 pouces; et les poutres devaient être faites de « mélèze de forêt ancienne, sans sève ni défectuosités ». Les matériaux devaient être « de la meilleure qualité, et la main-d’œuvre, de première classe ». Le pont Narrows existe encore de nos jours, ce qui témoigne de la solidité de sa construction et de la volonté des habitants de la région de préserver cette importante structure patrimoniale classée par le gouvernement du Québec. L’artefact fait partie du Fonds Marion Morrill. Numéro d’inventaire : Mor 15.1
Machine à écrire de Maude Gage Pellerin, vers 1910 item
Machine à écrire de Maude Gage Pellerin, vers 1910
800 $
Enfant unique, Maude Gage Pellerin (1884-1958) est née à Granby. Lorsqu’elle était petite, sa famille déménage à Hatley, où Maude demeura jusqu’à son décès. En plus de ses contributions régulières aux chroniques historiques du Stanstead Journal, Maude publie deux ouvrages : The Story of Hatley, un livre d’histoire local, et Songs of Old Quebec. Elle a aussi co-écrit The Trail of the Broad Highway avec son amie Bertha Weston Price. Ses récits de compilations d'histoire orale sur la vie des pionniers dans les Cantons-de-l'Est, dont le manuscrit date des années 1950, ont été publiés en 2021 par sa petite-fille Linda Pellerin. Don de Linda, Brenda et Shirley Pellerin, petites-filles de Maude Gage Pellerin, 2017. Numéro d’inventaire : 2017.15.3
Trophée de chasse (Tête d’orignal), 1940 item
Trophée de chasse (Tête d’orignal), 1940
600 $
Cet animal a été capturé par Merrick Belknap, Warren Drew et Everette Duquette, tous résidents de Magog, alors qu’ils recueillaient du poisson pour la pisciculture de Magog au lac de la Carpe, au nord de Saint-Jovite. Il s’agit de l’un des plus gros spécimens d’orignal jamais chassé au Québec, avec un poids d’environ 1200 livres et un panache mesurant 62 ½" d’une pointe à l’autre. Leur triomphe s’est retrouvé dans le Sherbrooke Daily Record à leur retour, et la tête a été empaillée par le taxidermiste Robert Elliott. Don de Merrick Belknap lors de l'exposition Voyager dans les Cantons, 2010. Numéro d’inventaire : 2010.4
Carte du lac Memphrémagog, 1890 item
Carte du lac Memphrémagog, 1890
400 $
Cette carte du lac Memphrémagog est l’œuvre de Marie A. Kuhnel. Elle est dessinée à l’encre noir et sépia ainsi qu’au crayon de plomb, et rehaussée à l’aquarelle bleu et brun. Le dessin et la calligraphie sont précis et très fins, ce qui témoigne du haut niveau de compétence de l’artiste, dont seul le nom est connu. La carte contient le détail du réseau hydrographique environnant le lac des deux côtés de la frontière et nomme les villages importants de la région. Fait saillant, l’étang Sugar Loaf semble avoir été connu auparavant sous le nom de « Concert Pond ». Donateur inconnu. Numéro d’inventaire : s.n.
Dîner de la vieille garde, 1882 item
Dîner de la vieille garde, 1882
300 $
Le photographe William James Topley (1845-1930) est le plus grand portraitiste d'Ottawa au 19e siècle. Pour réaliser cette impressionnante composition de groupe commémorant un banquet donné en l'honneur de John A. Macdonald, debout au centre de l'image, Topley a combiné plusieurs techniques. Il a photographié individuellement chacun des personnages représentés, a découpé ces portraits et les a placés dans un décor de pièce peint à la main, et enfin a photographié son collage pour avoir une vue uniforme de la scène. Grâce à tous ces procédés délicats et coûteux, Topley réussit à faire une composition complexe digne de la peinture d'histoire, qui peut être reproduite en de multiples exemplaires et formats. Don de Mme Helen Colby, 1992. Numéro d’inventaire : 920969
Trépigneuse à chien, mouton ou chèvre, 19e siècle item
Trépigneuse à chien, mouton ou chèvre, 19e siècle
300 $
Frank Henry Sleeper (1862-1937), le célèbre coaticookois inventeur du cric de Norton, conçoit au cours de sa vie de nombreux objets utilitaires parmi lesquels se trouve cette trépigneuse. En marchant, un chien, un mouton ou une chèvre actionne un tapis roulant incliné. Ce mouvement transmet la force requise au fonctionnement d’une baratte à beurre. À l'époque, la puissance ovine est réputée la moins chère, la plus durable et la plus efficace de toutes. Un seul mouton suffit à baratter le beurre de vingt vaches! Don de M. Thorton Cleveland de Libbytown, vers 1990 . Numéro d'inventaire : 1990.251
Microscope de poche botanique ou universel amélioré, fin du 18e siècle item
Microscope de poche botanique ou universel amélioré, fin du 18e siècle
300 $
Ce petit microscope en laiton a probablement été produit par la compagnie W & S Jones à Londres, qui a acheté les droits du livre de George Adams intitulé « Essays on the Microscope » (Essais sur le microscope). Ce livre contenait des gravures d'instruments qui ont été produits à partir de 1795, et ce modèle particulier a été représenté pour la première fois par Adams vers 1787. La mise au point s'effectue en déplaçant l'objet à observer. En inversant le microscope dans sa base, il peut également servir d'instrument à main, sa base servant de poignée ; le miroir est retiré et le microscope pointé vers la source lumineuse. Le mode d'emploi indique : « Ce microscope est adapté à l'observation de toutes sortes d'objets, qu'ils soient transparents ou opaques ; et pour les insectes, les fleurs, les animalcules et l'infinie variété des détails de la nature et de l'art, on le trouvera le microscope le plus complet et le plus portable, pour le prix, de tous ceux qui ont été conçus jusqu'à présent. » Don du Collège des Ursulines, 2005. Numéro d'inventaire : 2005.10.15
Campement de chasseurs au lac aux Araignées, 1862 item
Campement de chasseurs au lac aux Araignées, 1862
300 $
Cette peinture anonyme montre, à droite, l'inventeur stansteadois Henry Seth Taylor (1831-1887) au cours d'un voyage près du lac Mégantic. Ce tableau porte la marque d'un amateur talentueux sans formation académique - on le remarque notamment dans le traitement des mains et à la rigidité des corps. Elle correspond de si près à une photographie de la même scène qu'il est probable que les personnages et leur environnement ont été dessinés sur la toile à l'aide d'un projecteur. L'artiste a légèrement amélioré la scène : l'ouverture dans le ciel est plus grande et les figures sont éloignées les unes des autres, ce qui désengorge le campement. En comparant les deux images, on ne peut que se demander : pourquoi l'homme qui est debout n'a-t-il pas été reproduit dans la peinture? Don de John Gilman, date inconnue. Restauration effectuée par le Centre de conservation du Québec. Numéro d’inventaire : 1989.1477
Portrait de Marcus Child, 1859 item
Portrait de Marcus Child, 1859
300 $
Marcus Child (1792-1859), homme d'affaires et politicien, est né à West Boylston, Massachusetts. Il est venu s’établir dans le comté de Stanstead en 1812 en tant que pharmacien, et devient plus tard maître de poste et magistrat. Il s’est ensuite établi à Coaticook en tant que marchand et fabricant. Marcus Child a été élu à l'Assemblée législative du Bas-Canada pour Stanstead en 1829, et y a siégé de 1829 à 1830, puis de 1834 à 1837. Dans les années 1830, il s’est allié au Parti Patriote de Louis-Joseph Papineau, ce qui l’a obligé à s’exiler au Vermont à la suite des Rébellions des Patriotes au Bas-Canada. Il a été réélu à l'Assemblée en 1841 contre Moses French Colby, où il a siégé jusqu’en 1844. Il est reconnu comme l'un des fondateurs du Stanstead Seminary, précurseur du Stanstead College. Don de Jean G. Castles, 1980. Numéro d’inventaire : 1989.307
Pharmacie portative, 1886 item
Pharmacie portative, 1886
300 $
Cette pharmacie portative servant à contenir des flacons remplis de produits nécessaires à la préparation des médicaments a appartenu au docteur Chester William Cowles. Après ses études à l'université de New York, alors âgé de 24 ans, le docteur Cowles accepte un partenariat avec le médecin de Stanstead Plain, Moses French Colby Cette boîte à multiples compartiments est munie d’un dispositif de verrouillage et d’une poignée, et porte la marque de Leach & Green, en provenance des États-Unis à Boston. Don de Miss H. Cowles, date inconnue. Numéro d’inventaire : 1989.1162
Chapeau haut-de-forme, vers 1890 item
Chapeau haut-de-forme, vers 1890
150 $
Fait de fourrure de lapin lustrée à la manière de Mélusine, ce chapeau haut de forme au bord retroussé et à la calotte évasée est un accessoire porté exclusivement par les hommes. Synonyme d’un statut social élevé, il est porté lors d’occasions exigeant un costume formel. Ce chapeau a été fabriqué par la maison Henry Heath, chapelier londonien actif de 1822 jusqu’aux années 1930. Il appartenait à Charles Carroll Colby, bâtisseur de Carrollcroft. Glissée dans le rebord intérieur se trouve une carte postale adressée à Harriet Colby, épouse de Charles, et rédigée par Martha Stoddard Colby, sa nièce. Don de Mme Helen Colby, 1992. Numéro d'inventaire : s.n.
Visière, 1903 item
Visière, 1903
150 $
La visière en celluloïd transparent de couleur vert foncé est fréquemment portée entre la fin du 19e siècle et le milieu du 20e siècle par les comptables, les télégraphistes, les rédacteurs en chef et d’autres personnes engagées dans des activités nécessitant un souci du détail. Ce type d’objet vise à protéger les yeux de la forte luminosité des lampes à incandescence et des bougies, réduisant ainsi la fatigue oculaire. La couleur verte est particulièrement reposante pour les yeux et son usage est répandu, notamment dans la fabrication des lampes de banquier. Le premier brevet pour ce modèle de visière a été accordé à William Mahony, le 25 septembre 1900. La publicité du fabricant leur attribue plusieurs qualités : légère, ajustable, durable et hygiénique! Donateur inconnu. Numéro d’inventaire : 2019.x.1
Robe de mariée, vers 1864 item
Robe de mariée, vers 1864
150 $
Cette robe de mariée en taffetas de soie et velours brun a été portée par Eva Lafrance lors de son mariage à Joseph Turcotte en 1884, alors qu’elle avait 16 ans. Résidents de Stanstead, ils y ont géré un petit magasin pendant plusieurs années. Cette robe de mariée a également été portée par la mère d’Eva (Lafrance) Turcotte lors de son mariage, vers 1864. Au 19e siècle, les robes de mariée de couleur étaient la norme, et les tons de prune étaient au summum de l'élégance. La tradition de la robe de mariage blanche est créditée à la reine Victoria qui se marie en 1840, mais cette tendance ne devient la norme que des décennies plus tard. Don de Mme Roland Rodrigue, date inconnue. Numéro d’inventaire : 1989.1517.1-2
Étui à mouches, 19e siècle item
Étui à mouches, 19e siècle
150 $
Contenant en cuir qui sert à ranger et à transporter des mouches artificielles utilisées pour la pêche à la ligne. Cet étui à mouches a appartenu à Henry Seth Taylor (1833-1887) et à son fils Charles Henry Taylor (1869-1927). Il témoigne d’un intérêt pour la pêche transmis de génération en génération et d’une complicité entre un père et son fils. Horloger de métier et grand amateur de chasse et pêche, nous devons à Henry Seth Taylor la construction de la toute première voiture à vapeur au Canada. Charles H. Taylor a été maire de Stanstead Plain de 1904 à 1906. Don de Charles H. Taylor, date inconnue. Numéro d’inventaire : 1989.1296
Tableaux de pointage, deuxième moitié du 19e siècle item
Tableaux de pointage, deuxième moitié du 19e siècle
150 $
Le whist, un jeu de cartes d'origine anglaise, était très populaire auprès de l'élite occidentale aux 18e et 19e siècles. À ce titre, il est largement présent dans la littérature du temps, notamment dans les œuvres de Jane Austen, Arthur Conan Doyle et Léon Tolstoï. À cause de sa popularité, de nombreuses variantes voient le jour, le bridge étant la plus répandue depuis le début du 20e siècle. Pour garder le compte des parties de manière élégante, les marqueurs de whist se répandent rapidement au 19e siècle. En plus des sections habituelles permettant de calculer les points et de montrer l'atout sélectionné par le joueur, ces marqueurs possèdent une caractéristique plus rare : une troisième section qui permet de tenir le compte des parties gagnées. Don des familles Butters & Cassils, 2014. Numéro d’inventaire : 2014.5.7-8
Sac à main de soirée, 20e siècle item
Sac à main de soirée, 20e siècle
150 $
Le sac à main féminin trouve son origine à la fin du 18e siècle, lorsque l’amincissement de la silhouette des robes empêche les femmes de transporter leurs effets personnels dans des poches autonomes cachées sous leurs jupes. Sa première forme est le réticule, un petit sac à peine assez grand pour transporter un peu de maquillage et des cartes de visite. Si les usages des sacs à main se sont multipliés au même rythme que leurs formes, le réticule continue à être porté comme accessoire de soirée et il est particulièrement populaire dans les années 1920. Ce sac de satin possède de toutes petites ganses et est uniquement destiné à être porté à la main et non sur l'épaule. Don de Marguerite Lecours, date inconnue. Numéro d’inventaire : 1989.x.6
Flacons à parfum, vers 1900 item
Flacons à parfum, vers 1900
150 $
Ces tout petits flacons de parfum en forme de papillon sont faits de verre soufflé, de poils d'animaux, de peinture, de papier, d'or et de liège. Ils sont présentés dans leur emballage d'origine, une boîte de carton ronde et comportant les logos du fabricant et du vendeur. Le fabricant, Reiss Parfumeur, est un parfumeur allemand fondé à Francfort-sur-le-Main en 1837 et toujours actif au tournant du 20e siècle au moment où les bouteilles et leur emballage sont confectionnés. La paire de flacons a été achetée dans une parfumerie de Boston, ce qui témoigne des liens étroits entre Boston et Stanstead à cette époque. Don des familles Butters et Cassils, 2014. Numéro d’inventaire : 2014.5.1.1-3
Paire de cardes à main Whitmore’s No 8 Wool, 19e siècle item
Paire de cardes à main Whitmore’s No 8 Wool, 19e siècle
150 $
La laine, après avoir été tondue et lavée, doit être brossée. Cet alignement des fibres est nécessaire pour le filage et produit le long fil continu qui peut ensuite être transformé en textile. Alors que des peignes en matériaux divers sont utilisés pour brosser la laine depuis des milliers d’années, sans doute depuis la domestication de l’animal, un nouvel outil apparaît au début du 14e siècle : les cardes. Une paire de cardes est constituée de deux objets identiques possédant une poignée, une planchette de bois, une bande de cuir et des centaines de petits crochets de métal. L’utilisation des cardes lors de la production créée une laine plus aérée, et qui est de ce fait plus chaude que la laine peignée. Whitmore est une marque américaine de produits pour l’industrie de la laine. Donateur inconnu. Numéro d’inventaire : 1990.325.1-2
Face-à-main, fin du 19e siècle item
Face-à-main, fin du 19e siècle
150 $
Ayant une fonction exclusivement utilitaire au départ, les lunettes deviennent rapidement un accessoire de mode important auprès de la bourgeoisie du 19e siècle. Le face-à-main connaît un grand succès dans le milieu bourgeois, où le rôle de parure et d'esthétisme prime sur la correction visuelle. D'abord réservé aux hommes avant d'être utilisé par les femmes, le face-à-main est un véritable bijou et accessoire conçu à partir de matières précieuses. Fabriqué en écaille de tortue, ce modèle est composé de deux binocles de forces différentes et d'un manche fendu sur le sens de la longueur qui permet d'y replier les lunettes pour leur transport sécuritaire. Donateur inconnu. Numéro d’inventaire : 1989.1088
Cisailles, 19e siècle item
Cisailles, 19e siècle
150 $
À cause de sa laine, le mouton compte parmi les premières espèces domestiquées, dès 10 000 ans av. J.-C. Dès que les outils en bronze sont développés aux environs de 3000 ans avant notre ère, la forme basique des cisailles est établie et n'a pas changé depuis : deux couteaux dont les lames aiguisées se sont face, unis par un ressort et fabriqués d'un seul morceau de métal. Ce type de cisailles domine l'industrie de la tonte jusqu'à la moitié du 19e siècle. Au début du siècle suivant, la tonte mécanique devient la norme. Don de Lewis A. Demick, 1977. Numéro d’inventaire : 1990.556
Carte du district de Saint-François, Canada-Est, 1863 item
Carte du district de Saint-François, Canada-Est, 1863
150 $
Cette carte est une gravure géographique établie à partir des relevés des British & American Boundary Commissioners, de la British Land Co. et du Crown Land Department and Special Surveys & Observations. Élaborée à partir du recensement de 1861, cette carte est une source importante pour l’histoire socioéconomique de la région. Elle est publiée par Putnam and Gray et inclut des données statistiques sur la population, un répertoire des entreprises, un tableau des distances, dix-huit cartons montrant des aspects de la région et quatre illustrations de bâtiments. L’Américain Ormando W. Gray (1829-1912) est un ingénieur civil et topographique qui a produit plusieurs cartes et atlas. Donateur inconnu. Numéro d’inventaire : s.n.
Bâton de jeu de crosse, fin du 19e siècle item
Bâton de jeu de crosse, fin du 19e siècle
150 $
La crosse a été le premier sport national du Canada. C’est à Cornwall, en Ontario, que ce sport a été le plus populaire. Frank Lally, réputé fabricant de bâtons pour ce jeu, y ouvre son entreprise en 1893 à la suite de sa retraite en tant que joueur de crosse en 1889. C'est en 1901 que ses produits sont reconnus par les joueurs comme étant, selon l'entreprise, « les meilleurs bâtons du monde ». Fabriqué par cette entreprise réputée, ce bâton de jeu de crosse a appartenu à Georges Pierce Butters (1866-1938), un des descendants de la famille Pierce, famille pionnière de Stanstead. Don de Archie Butters et Nancy Pacaud, 1998. Numéro d’inventaire : 1998.80.1
Enfumoir, vers 1920 item
Enfumoir, vers 1920
150 $
Les apiculteurs ont toujours utilisé la fumée pour récolter le miel puisqu'elle rend les abeilles plus dociles et réduit de façon significative leur tendance à piquer. L’enfumoir moderne a été inventé dans la deuxième moitié du 19e siècle et il comprend deux parties essentielles : un soufflet de cuir et une chaudière en fer-blanc. Ce modèle date du début du 20e siècle, probablement autour de 1920, comme le suggèrent la forme du bec et la présence d’une grille à combustible dans la chaudière. Don de Joan & Arthur Friedman de Georgeville, 2013. Numéro d’inventaire : 2013.x.17.6
Masque à gaz, modèle M1917 Lederschutzemaske, 1917 item
Masque à gaz, modèle M1917 Lederschutzemaske, 1917
200 $
Pendant la Première Guerre mondiale, les gaz de combat sont largement utilisés par les différents belligérants. D’abord simplement lacrymogènes, les substances utilisées deviennent asphyxiantes et toxiques à partir de 1915, ce qui entraîne le développement de masques à gaz. Le modèle allemand le plus répandu dans les dernières années de la guerre est le M1917 Lederschutzemaske. Il est caractérisé par une cagoule en cuir, une cartouche amovible vissée directement dans la cagoule, la présence de lentilles amovibles et antibuée en cellulose orange et l’absence de soupape d’expiration. Une estampe sur la cartouche indique le 20 octobre 1917 comme date de fabrication. L’objet pourrait ainsi avoir été capturé au cours de la seconde bataille de Passchendaele, dans laquelle se sont illustrée les soldats canadiens. Le Lederschutzemaske donne un air terrifiant à son porteur et marque l’imaginaire des horreurs de la Première Guerre mondiale. Donateur inconnu. Numéro d’inventaire : 1989.1348.1-2
Pot de chambre, premier quart du 20e siècle item
Pot de chambre, premier quart du 20e siècle
300 $
Le pot de chambre, appelé aussi vase de nuit, est l’ancêtre des toilettes actuelles. Généralement placé sous le lit, il permet d'éviter de devoir utiliser la toilette extérieure pendant la nuit. Couramment utilisé avant l'installation de toilettes intérieures, il disparaît progressivement au cours du 20e siècle. Ce récipient portatif en demi-porcelaine a été fabriqué par la compagnie anglaise Dudson Wilcox & Till. Don de Sœur Thérèse Vachon, date inconnue. Numéro d’inventaire : 1995.136.1-2
Appareil-photo à chambre de John Joel Parker, date inconnue item
Appareil-photo à chambre de John Joel Parker, date inconnue
800 $
J. J. Parker (1877-1961) est né à Hatley et fut diplômé de l’École commerciale du Stanstead College. Il débute sa carrière de photographe en 1896 en s’associant avec George Johnston, de la région de Sherbrooke. En novembre 1899, il inaugure son propre studio à Derby Line au coin de Caswell Avenue et Main Street. Vers 1965, la Société Historique de Stanstead acquiert quelque 7000 de ses négatifs sur plaque de verre, principalement des portraits et des paysages. Parker et son épouse, Ethelwyn Brooks, furent des membres actifs de la Société. Don de la succession de J. J. Parker, 1970. Numéro d’inventaire : 1989.1588
Machine à coudre pour enfant, 1914 item
Machine à coudre pour enfant, 1914
500 $
Cet objet n'est pas un jouet, mais une véritable machine à coudre en fonte, fabriquée pour enseigner la couture à la machine aux fillettes. Cette machine, qui se fixe sur une table à l'aide d'un serre-joint, est capable de produire un point de chaînette simple. Vendu exclusivement par la compagnie Singer entre 1910 et 1950, avec une résurgence dans les années 1970, le modèle 20 a connu plusieurs changements. Cette machine peut être identifiée comme ayant été produite dans les années 1914 à 1922, grâce à son volant à huit rayons. Elle comprend dans sa boîte en carton vert d’origine un livret d'instruction et plusieurs accessoires. Donateur inconnu. Numéro d’inventaire : 2018.x.22
Jumelles d'opéra, vers 1890 item
Jumelles d'opéra, vers 1890
200 $
Également appelées «Jumelles de théâtre », ces jumelles faites de laiton, d’ivoire et de porcelaine ont été utilisées dans les années 1890 par la grand-mère de la donatrice. Habituellement ornées d'ivoire ou de nacre pour une finition luxueuse, les jumelles d'opéra sont conçues pour être utilisées au théâtre par les femmes de la haute société. Elles ont donc un faible grossissement, mais un champ de vision élevé ce qui permet de voir en détail ce qui se déroule sur scène. Compactes et élégantes, elles se transportent aisément et s’agencent à la tenue de soirée de leur propriétaire. Les jumelles d'opéra étaient un accessoire indispensable pour toute femme de la haute société, pour laquelle une sortie à l'opéra était un évènement social et culturel important. Don d’Isabel Shaw, date inconnue. Numéro d'inventaire : 1989.313
Maison de poupée, 1926 item
Maison de poupée, 1926
600 $
Complète avec des rideaux en dentelle et des lambrequins verts, cette maison de poupée a été fabriquée par le talentueux Richard « Dick » Woodman (1918-1936) de Beebe, alors âgé de neuf ans. Doté d'un talent très précoce, Woodman devient un menuisier réputé à Beebe. Créée pour sa sœur Margaret, la maison compte une petite cheminée, une remise pour le bois à l'extérieur et même du papier peint, le tout peint en un charmant rouge et vert. La donatrice a gardé cette maison de poupée avec elle toute sa vie, jusqu'à son don au musée Colby-Curtis. Nous pouvons imaginer tout le bonheur que la petite Margaret a eu lorsqu'il était temps de jouer avec sa maison de poupée. Don de Margaret Woodman, 2013. Numéro d’inventaire : 2013.x.16
Casse-noisette, quatrième quart du 19e siècle item
Casse-noisette, quatrième quart du 19e siècle
600 $
Ce casse-noisette en bois de type levier est à l'effigie d'Otto von Bismarck (1815-1898), fondateur de l'unité politique de l'Allemagne et réputé pour son agressivité en politique. Une noix à casser peut être insérée entre les dents du politicien, puis ouverte à l'aide de sa mâchoire. La représentation de la royauté, de politiciens, d'animaux, de personnages et de villageois en tant que figure de casse-noisette était assez commune à l'époque. Le casse-noisette de type levier est le plus utilitaire, en le comparant aux types avec vis et à percussion, et est le plus commun dans nos cuisines aujourd'hui. Don de Helen Lovat Colby. Numéro d'inventaire : 920853
Distributeur de cigarettes (éléphant), 1931 item
Distributeur de cigarettes (éléphant), 1931
200 $
Au début du 20e siècle, fumer est une activité sociale importante. Pour cette raison, les fumeurs étaient très créatifs dans leur manière d'allumer une cigarette ou de les distribuer à leurs invités. Plus que de simples accessoires d'entreposage, les distributeurs de cigarette étaient des objets décoratifs qui pouvaient prendre toute sorte de formes. Du carrousel à l'âne en passant par la boîte à musique, ils étaient souvent des cadeaux pour faire sourire. Ce distributeur de cigarette est en forme d'éléphant, et soulever sa queue éjecte une cigarette pa sa bouche. Une inscription à l'intérieur, « Pat Pend July 9 31 », signifie que ce modèle de distributeur était en attente de confirmation de son brevet lorsqu'il a été produit. Don de Helen Lovat Colby, 1992. Numéro d'inventaire : 920451
Tirelire mécanique, vers 1930 item
Tirelire mécanique, vers 1930
200 $
Cette tirelire est l'un des derniers modèles mécaniques en fonte appelées "Trick Monkey Bank". On dépose une pièce de monnaie dans la gueule du singe, puis en actionnant le levier situé sur la base sous le singe, il saute et dépose la pièce à l'intérieur de l'instrument du joueur d'orgue de Barbarie. La pièce de monnaie peut ensuite être récupérée à l’aide d’une clé dans un compartiment situé à l'intérieur de la base. L'entreprise Hubley Manufacturing Company fut l'un des plus grands manufacturiers américains de jouets et de tirelires jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale. Ce modèle spécifique de banque en fonte a été fabriqué entre les années 1920 et 1935. Don de Helen Lovat Colby, 1992. Numéro d'inventaire : 1998.596
Sorbetière, première moitié du 20e siècle item
Sorbetière, première moitié du 20e siècle
200 $
Cet appareil en bois est composé d'un récipient pour contenir la crème et le sucre, d'un cylindre bardé de métal pour contenir la glace et la saumure et d'un mécanisme à manivelle. Parce que les sucres et le gras dans le mélange interfèrent avec la formation de cristaux de glace, il faut une température plus froide que 0° C pour que la crème glacée prenne. En ajoutant de l'eau salée à la glace, cela baisse la température à laquelle elle fond, ce qui permet à la crème glacée de geler de manière cohésive. Cette baratte brevetée est actionnée par une poignée et sert à confectionner des sorbets ou des crèmes glacées. Mise sur le marché par The Dana Mfg. Co. (Ohio), cette baratte pouvait, selon leurs annonces, faire de la crème glacée en trois minutes. Numéro d'inventaire : 921164
Abécédaire brodé, 1829 item
Abécédaire brodé, 1829
400 $
Dans les travaux d'aiguille, l'abécédaire est un ouvrage de base destiné à enseigner différents points de broderie. En général, l’abécédaire comporte les lettres de l’alphabet, les chiffres de 0 à 9 ainsi que des éléments décoratifs tels que des figures, des bordures, des motifs, le nom de l’exécutante et la date. Celui-ci comporte également une mention en vers : « Ce beau travail de broderie / Démontre que j'ai bien appris / De mes parents à ma nourrice / À éviter tous les caprices. » L’ouvrage est réalisé à huit ans par Emily Pierce (1821-1832), fille du notable stansteadois Wilder Pierce, à qui l’on doit la construction de l'édifice Wilder-Pierce qui a servi à loger un magasin général, le tout premier bureau de douanes de la région des Cantons-de-l'Est puis une succursale de l'Eastern Townships Bank. Don de Mme. Helen Colby, 1992. Numéro d’inventaire : 920219
Landau, vers 1880 item
Landau, vers 1880
600 $
Cette voiture d'enfant à capote en velours de coton rabattable et à lit en bois peint suspendu est munie de petites et grandes roues en bois cerclées de fer. Si son origine est inconnue, il est néanmoins possible de présumer que ce landau est de fabrication italienne d’après les deux peintures miniatures sur le lit suspendu : l’une montre une vue depuis le Grand Canal de Venise et l’autre, une vue d’une villa italienne dans un paysage alpin. Inventé au 18e siècle, l’usage du landau se développe considérablement dans la deuxième moitié du 20e siècle avec la croissance économique de l'après-guerre. Les landaus disparaissent progressivement durant les années 1970 pour faire place aux poussettes, pliables, plus maniables et plus sécuritaires. Don de Jacques Valiquette, 2010. Numéro d’inventaire : 2010.42
Montre de gousset, 1874 item
Montre de gousset, 1874
200 $
Cette montre de poche a appartenu à Walter George Belknap, directeur de l’écloserie piscicole de Magog de 1900 à 1940. La montre est composée de laiton, de verre et d’or 14 carats. Au milieu de la chaîne se trouve une tige de laiton qui permet de sécuriser la montre dans une boutonnière. Deux clés, situées à l’extrémité de la chaîne, permettent de remonter le mécanisme. Cette montre de modèle « P.S. Bartlett » a été fabriquée en 1874 par la American Watch Co., ou Waltham Watch Company, pionnière de l’horlogerie aux États-Unis et active de 1850 à 1957 dans la ville de Waltham au Massachusetts. Don de Keith Belknap, 2010 Numéro d’inventaire : 2009.3
Porte-voix honorifique, 1885 item
Porte-voix honorifique, 1885
250 $
Quand des pompiers volontaires ont commencé à former des compagnies aux États-Unis à la fin du 18e siècle, un besoin s'est fait sentir de mieux organiser les efforts de lutte contre les incendies. Les ingénieurs et les officiers ont alors commencé à utiliser des porte-voix afin de diriger et amplifier le son de leur voix lorsqu'ils coordonnent les opérations sur la scène d'un incendie. Ce porte-voix honorifique a été présenté aux pompiers de la ville de Stanstead en l'honneur de leur service. Donateur inconnu. Numéro d’inventaire : 1990.171.1
Poupée Jumeau Restaurée, 1878 item
Poupée Jumeau Restaurée, 1878
300 $
Cette poupée articulée en bois et composite surnommée «Bébé Jumeau» revêt les vêtements authentiques de son époque. Les yeux, dont le détail et la luminosité impressionnent, sont constitués de verre soufflé. Émile-Louis Jumeau (1843-1910) , qui était architecte avant d'hériter de la compagnie Jumeau de son père Pierre-François Jumeau (1811-1895) vers 1867. Avec sa femme Ernestine, qui fournit la compagnie de poupées avec les dernières tendances et styles de mode, il remporte la médaille d'or en 1878 à l'exposition Universelle de Paris. La compagnie Jumeau atteint son apogée avec le couple à sa tête, grâce à la qualité des vêtements et à la finesse de la tête en céramique biscuit des poupées, qui donne une finition matte réaliste semblable à celle de la peau. Don de Nancy Pacaud, 2006. Restoration effectuée par le Centre de conservation du Québec, 2021. Numéro d'inventaire : 2006.693.1-8
Métier à dentelle, vers 1890 item
Métier à dentelle, vers 1890
300 $
Ce métier à dentelle, aussi appelé coussin de dentellière, a été utilisé par les Ursulines de Stanstead pendant plus de 75 ans. En 1884, neuf Ursulines de Québec ouvrent leur monastère à Stanstead Plain dans un édifice construit selon les plans de François-Xavier Berlinguet, architecte, ingénieur et sculpteur québécois. Cette même année, les portes du pensionnat et de l’externat s’ouvrent aux fillettes et l’on aménage une école pour les garçons. À cette époque, Stanstead était considéré comme la perle des Cantons-de-l’Est par les Ursulines. Le Monastère des Ursulines de Stanstead ferme ses portes en 2004 pour faire place, sept ans plus tard, au Manoir Stanstead, une résidence pour personnes âgées. Don de Sœur Angèle Bernard, 1990. Numéro d’inventaire : 1990.1666.1-24
e jardin canadien : Un livre de poche pour les débutants, 1910 item
e jardin canadien : Un livre de poche pour les débutants, 1910
500 $
De l'autrice Annie Linda Jack (1839 - 1912), horticultrice, ce livre de poche a été publié par The Musson Book Co à Toronto et A. T. Chapman à Montréal. Il est le premier et le seul manuel canadien sur le jardinage pendant près de 20 ans. Il contient une série de conseils pratiques écrits avec une plume poétique, en une série de courts chapitres proposant des conseils généraux. Il se concentre ensuite sur les jardins potagers, fruitiers et floraux, ces derniers occupant les deux tiers de l'ouvrage. Ce livre est la deuxième édition du recueil, qui a été publié pour la première fois en 1903. Jack était poète, enseignante et chroniqueuse horticole populaire, et elle fut la première femme à écrire professionnellement sur le sujet du jardinage au Canada. Don anonyme. Numéro d'inventaire : s.n.
Couronne en cheveux, 1962 item
Couronne en cheveux, 1962
150 $
Vers la fin du 18e jusqu'au 19ème siècles, il est courant de conserver les cheveux d'un être cher pour les transformer en une couronne et ainsi honorer la mémoire d’un proche. Cette pièce commémorative peut être fabriquée à partir des cheveux d’une personne ou de toute une famille. Les cheveux sont façonnés par torsion en forme de fleurs et de feuilles. Ces formes sont ensuite cousues à de fines structures en fil métallique puis combinées en une couronne en forme de U. L'espace ouvert dans le haut permet l’ascension au ciel l'âme du défunt. Cette couronne est fabriquée avec les cheveux des arrière-grands-parents d’Emma Langmaid de Wolfeboro, New Hampshire. Don de Mabel Drew, date inconnue. Numéro d’inventaire : 1989.1285.1-3
Boîte à tabloïde, vers 1890 item
Boîte à tabloïde, vers 1890
150 $
Fondée en 1880 comme distributrice de produits phramaceutiques, Burroughs Wellcome & Co devient rapidement une compagnie pharmaceutique à part entière. À la fin du 19e siècle, la cocaïne était en vente libre et on pouvait la trouver dans de nombreux médicaments brevetés, tels que les remèdes contre les maux de dents. C'est Wellcome qui a inventé le terme tabloïd, utilisé pour désigner les médicaments comprimés, et l'a enregistré en tant que marque déposée de l'entreprise. Leurs produits étaient généralement emballés dans des contenants de voyage compacts pour servir de trousses de premiers soins aux automobilistes, explorateurs et aventuriers. Don de Mme Helen Colby, 1992. Numéro d'inventaire : 921235
Uniforme du Dr Henrietta Banting, 1942 item
Uniforme du Dr Henrietta Banting, 1942
300 $
Lady Henrietta Banting (1912-1976) est reconnue pour ses travaux pionniers en oncologie au Canada. En 1967, elle publie avec Elizabeth Forbes, cheffe de la radiologie au Women's College Hospital, une étude sur l'utilisation de la mammographie pour la détection du cancer du sein dans le Journal de l'Association canadienne des radiologues. Étudiante de médecine en 1938, elle s'enrôle dans le Corps médical royal de l’armée canadienne au début de la Deuxième Guerre mondiale. Son uniforme, sa sacoche ainsi que ses boîtiers de médicaments et d’équipement médical constituent la trousse essentielle des médecins partant au front. Don de Dr Henrietta Banting, date inconnue. Numéro d'inventaire : 1991.1869.1-4
Diligence, vers 1890 item
Diligence, vers 1890
1 500 $
Cette diligence a été fabriquée par la compagnie américaine Abbott & Downing. Elle est l'une des deux qui ont été utilisées pour le transport de passagers et du courrier dans la région de Stanstead, d'abord par Bert Channell puis par Archie Walker. L'arrivée du chemin de fer à Stanstead en 1896 marque le déclin des diligences et Archie Walker vend ses deux diligences aux collectionneurs John T. et F. Winfield Hackett. Député à la chambre des communes du Canada puis sénateur, John T. Hackett a été président de la société historique de Stanstead de 1937 à 1957. L'autre diligence de Stanstead fait maintenant partie des collections d’Ingenium - Musées des sciences et de l’innovation du Canada, situé à Ottawa. Don de la famille de John T. et F. Winfield Hackett, 1958. Numéro d'inventaire : 1990.627.1-2
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