Front commun pour la transition énergétique

**Context Profile for Front commun pour la transition énergétique**

1. **Organization Mission & Cause:**
   - The Front commun pour la transition énergétique is dedicated to facilitating a collective and inclusive transition towards sustainable energy practices in Quebec. Their mission revolves around promoting energy efficiency, renewable energy adoption, and advocating for policies that support a sustainable energy future. They aim to engage communities, organizations, and policymakers in dialogue and action to address climate change and reduce carbon footprints.

2. **Type of Activities:**
   - **Events:** They organize reflective sessions and workshops, such as the recent "Réflexion sur la tarification de l’électricité au Québec," to discuss and strategize on energy pricing and policies.
   - **Campaigns:** The organization runs campaigns to raise awareness and mobilize public support for energy transition initiatives.
   - **Community Programs:** They engage with local communities to educate and involve them in sustainable energy practices and policy advocacy.

3. **Tone of Voice:**
   - The tone is professional yet approachable, aiming to inspire and engage a wide audience. The language used is clear and informative, often with a formal touch suitable for policy discussions and community engagement.

4. **Emoji Usage:**
   - There is no significant use of emojis in their communications, suggesting a more formal and professional approach to their messaging.

5. **Key Facts:**
   - **Founding Info:** The organization is a coalition of various groups and individuals committed to energy transition in Quebec.
   - **Scale:** They have conducted 10 forms and 21 email campaigns, indicating active engagement and outreach efforts.
   - **Impact Metrics:** While specific impact metrics are not detailed, their activities suggest a focus on policy influence and community education.

6. **Writing Guidelines:**
   - **Style:** Maintain a formal and informative style, suitable for policy discussions and educational content.
   - **Language:** Use clear and precise language to convey complex energy topics in an understandable manner.
   - **Personalization:** Incorporate personalization in communications, as seen in their thank you emails, to engage directly with the audience.
   - **Visuals:** Utilize relevant images and infographics to support textual content, enhancing understanding and engagement.

By adhering to these insights, AI-generated content can effectively align with the organization's mission and communication style, fostering better engagement and support for their cause.

Admission générale

<img src="https://res.cloudinary.com/hxn9dbuhd/image/upload/v1714743379/cn0mbpu74ot9c6xuqude.png" style="width:600px;display:block;vertical-align:top;margin:5px auto;text-align:center;position:relative;max-width:100%;cursor:pointer;padding:0px 1px;user-select:none;box-sizing:inherit" />Webinaire et table rondeAu XXe siècle et à l’aube du XXIe siècle, divers penseurs – philosophes, biologistes, écologistes, économistes, mathématiciens et autres – ont déjà annoncé qu’une croissance en continu est impossible sur une planète dont les ressources sont limitées. Ainsi, dans les 50 dernières années, les effets des activités humaines se sont fait ressentir dans les trois quarts des terres libres de glace et les deux-tiers des océans. Dans ce contexte, il faut considérer le territoire comme une ressource limitée et non renouvelable et appliquer les principes de décroissance et sobriété aux territoires. « Par exemple, lorsqu’une terre agricole ou un milieu naturel est urbanisé ou autrement artificialisé, un retour en arrière est rarement possible. À toutes fins pratiques, ce sont des territoires perdus pour l’agriculture, les habitats, les écosystèmes et la résilience. Ce constat oblige à une remise en question de la notion même de croissance urbaine et milite pour la consolidation de milieux déjà établis, ceux-ci ayant une capacité d’accueil suffisante pour la grande majorité de nos besoins.» La Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire adoptée en 2023 par le Québec va en ce sens notamment dans sa recommandation 16 « Adopter une posture et un discours qui valorisent la sobriété territoriale et axent le développement sur la consolidation des milieux de vie existants. » À cet effet, Serge Latouche écrivait déjà en 2013 qu’« il importe d’abord de saisir comment la société de croissance engendre un désastre territorial (désastre urbain s’accompagnant d’un pour la sobriété territoriale, p. 34. désastre rural et de la destruction des paysages), puis de voir les implications du projet de la décroissance face à une crise de civilisation. Les villes et territoires décroissants devraient être à empreinte écologique réduite, entretenant un rapport étroit avec l’écosystème (par ex. une bio-région, entité spatiale cohérente traduisant une réalité géographique, sociale et historique). Les pratiques de décroissance et sobriété appliquées aux territoires doivent reposer impérativement sur des échanges et des débats, pour faire naitre un récit collectif et permettre que la modération, à l’échelle d’un territoire, soit un choix politique ainsi que d’associer les pratiques de sobriété à une notion d’identité collective (ex. : création d’éco-lieux où la sobriété est au centre d’une nouvelle culture de « l’habiter » ensemble construit collectivement).   Enfin, planifier la décroissance présente des défis et différentes expériences québécoises dans des milieux et à des échelles diversifiées en sont déjà des réalisations inspirantes. Par ailleurs, revoir ou revisiter les outils contribuant à la planification des territoires en font partie dont la solution élaborée par le Centre québécois du droit de l’environnement : l’évaluation environnementale régionale. En prolongement de l’atelier tenu lors de la Semaine de la transition en juin 2023, le webinaire vise donc à travers des échanges avec trois intervenants à approfondir et débattre sur ces questions ainsi qu’à soutenir et inspirer l’action par des exemples concrets : En prolongement de l’atelier tenu lors de la Semaine de la transition en juin 2023, le webinaire vise donc à travers des échanges avec trois intervenants à approfondir et débattre sur ces questions ainsi qu’à soutenir et inspirer l’action par des exemples concrets :<ul><li style="width:100%;margin-top:0px;margin-bottom:0px;box-sizing:inherit">DÉCROISSANCE, BIO-RÉGIONS, COMMUNS, MUNICIPALISME LIBERTAIRE<ul><li style="width:100%;margin-top:0px;margin-bottom:0px;box-sizing:inherit">Noémi Bureau-Civil, Co-Coordonnatrice du groupe de recherche, Polemos</li></ul></li><li style="width:100%;margin-top:0px;margin-bottom:0px;box-sizing:inherit">SOBRIÉTÉ TERRITORIALE/FONCIÈRE : APPROCHES ET EXEMPLES CONCRETS<ul><li style="width:100%;margin-top:0px;margin-bottom:0px;box-sizing:inherit">Valérie Ebacher, conseillère Aménagement et urbanisme, Vivre en Ville</li></ul></li><li style="width:100%;margin-top:0px;margin-bottom:0px;box-sizing:inherit">ÉVALUATION ENVIRONNEMENTALE RÉGIONALE COMME OUTIL DE PLANIFICATION<ul><li style="width:100%;margin-top:0px;margin-bottom:0px;box-sizing:inherit">Marc Bishai, avocat, Centre québécois du droit de l’environnement</li></ul></li></ul>Quelques mots de plus sur les intervenants Valérie Ebacher, Conseillère - Aménagement et urbanisme, Vivre en Ville B. Sc. Urb., URB. OUQ Valérie Eba<img src="https://res.cloudinary.com/hxn9dbuhd/image/upload/v1715616291/wj9ski521zxctjaa8kr2.png" style="width:140px;display:inline-block;vertical-align:bottom;margin:5px 15px 5px 0px;text-align:left;max-width:calc(100% - 5px);float:left" />cher est urbaniste et titulaire d’un baccalauréat en urbanisme et d'aménagement du territoire et en urbanisme chez Vivre en Ville depuis 2021, elle s'intéresse particulièrement à l'aménagement de milieux de vie favorables à la santé, sobres en carbone et résilients. À cet effet, elle a activement participé à la rédaction du guide Collectivités en santé, des fiches Municipalités amies du climat - Exemples et du récent ouvrage Ouvrir le dialogue. Elle est aujourd'hui appelée à travailler, entre autres, sur l'utilisation durable des milieux humides et hydriques. Noémi Bureau-Civil, Co-Coordonnatrice du groupe de recherche, Polemos <img src="https://res.cloudinary.com/hxn9dbuhd/image/upload/v1715693693/k5loepywaem8zldbybng.png" style="width:143px;display:inline-block;vertical-align:bottom;margin:5px 15px 5px 0px;text-align:left;max-width:calc(100% - 5px);float:left" />Noémi Bureau-Civil détient une maîtrise en physiothérapie, profession qu’elle a exercée pendant près de dix ans dans lesecteur public. À l’automne 2019, elle a coorganisé une conférence à Montréal intitulée « L’effondrement : La find’un monde, en construire un nouveau ? » portant sur la possibilité d’effondrements systémiques globaux et les pistes de solutions pour les éviter, les atténuer ou s’y préparer. Elle s’est présentée comme candidate indépendante aux élections fédérales de 2021 pour proposer la décroissance comme projet politique dans sa circonscription. Noémi est co-coordinatrice du groupe de recherche à but non lucratif Polémos-décroissance et s'intéresse particulièrement à la critique de la technique et au concept de biorégion. Marc Bishai, avocat, Centre québécois du droit de l'environnementTitulaire d’un bacc<img src="https://res.cloudinary.com/hxn9dbuhd/image/upload/v1715616400/ffc04k89ug3pl8eoxiuh.png" style="width:148px;display:inline-block;vertical-align:bottom;margin:5px 15px 5px 0px;text-align:left;max-width:calc(100% - 5px);float:left" />alauréat en droit de l’Université de Montréal, Me Bishai est avocat de litige depuis 2007. Il pratique au sein de cabinets de petite taille jusqu’en 2012, en droit de la famille et en droit civil et commercial. Pendant cette période, il est auteur de trois articles publiés dans des revues de droit ontarienne et canadienne.Il se joint alors au Service du contentieux du Barreau du Québec, où il représente cet ordre professionnel devant les tribunaux régulièrement, notamment à la Cour d’appel, et agit comme conseiller juridique du Barreau du Québec. Il œuvre alors en droit administratif, pénal, civil et professionnel.Depuis 2015, Marc est un avocat du Centre québécois du droit de l’environnement parce qu’il a la conviction profonde que le droit de l’environnement regroupe les enjeux les plus importants du présent et de l’avenir.

Bonjour <span contenteditable="false" data-custom-variable="{{firstname}}" fr-original-class="fr-deletable styled-tag-chip " fr-original-style style="background-color:rgb(248, 248, 255);border:1px solid rgb(191, 191, 255);border-radius:4px;color:rgb(42, 42, 196);display:inline-block;margin:0px;padding:1px 8px;font-size:11px;line-height:16px;overflow-wrap:anywhere;user-select:none;box-sizing:inherit">Prénom , Merci de vous être inscrit au webinaire / table ronde  SOBRIÉTÉ TERRITORIALE 2,0 / REGARD SUR LES VILLES ET LES TERRITOIRES DU FUTUR, qui se tiendra le 30 mai, de 12h à 14h. Rejoindre la réunion Zoom : <a href="https://us02web.zoom.us/j/81095310422?pwd=OHk4NStUOVVUMnIrdlNVb2NGRGZQZz09" style="color:inherit;text-decoration:inherit;user-select:auto;box-sizing:inherit">https://us02web.zoom.us/j/81095310422?pwd=OHk4NStUOVVUMnIrdlNVb2NGRGZQZz09</a> ID de réunion: 810 9531 0422 Code secret: 265656 Trouver votre numéro local : https://us02web.zoom.us/u/ker6Hxdsz Les membres de la table Territoires et biodiversité du Front commun pour la transition énergétique

<img src="https://res.cloudinary.com/hxn9dbuhd/image/upload/v1714743379/cn0mbpu74ot9c6xuqude.png" style="width:600px;display:block;vertical-align:top;margin:5px auto;text-align:center;position:relative;cursor:pointer;padding:0px 1px;user-select:none;box-sizing:inherit;max-width:100%" />Webinaire et table rondeAu XXe siècle et à l’aube du XXIe siècle, divers penseurs – philosophes, biologistes, écologistes, économistes, mathématiciens et autres – ont déjà annoncé qu’une croissance en continu est impossible sur une planète dont les ressources sont limitées. Ainsi, dans les 50 dernières années, les effets des activités humaines se sont fait ressentir dans les trois quarts des terres libres de glace et les deux-tiers des océans. Dans ce contexte, il faut considérer le territoire comme une ressource limitée et non renouvelable et appliquer les principes de décroissance et sobriété aux territoires. « Par exemple, lorsqu’une terre agricole ou un milieu naturel est urbanisé ou autrement artificialisé, un retour en arrière est rarement possible. À toutes fins pratiques, ce sont des territoires perdus pour l’agriculture, les habitats, les écosystèmes et la résilience. Ce constat oblige à une remise en question de la notion même de croissance urbaine et milite pour la consolidation de milieux déjà établis, ceux-ci ayant une capacité d’accueil suffisante pour la grande majorité de nos besoins.» La Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire adoptée en 2023 par le Québec va en ce sens notamment dans sa recommandation 16 « Adopter une posture et un discours qui valorisent la sobriété territoriale et axent le développement sur la consolidation des milieux de vie existants. » À cet effet, Serge Latouche écrivait déjà en 2013 qu’« il importe d’abord de saisir comment la société de croissance engendre un désastre territorial (désastre urbain s’accompagnant d’un pour la sobriété territoriale, p. 34. désastre rural et de la destruction des paysages), puis de voir les implications du projet de la décroissance face à une crise de civilisation. Les villes et territoires décroissants devraient être à empreinte écologique réduite, entretenant un rapport étroit avec l’écosystème (par ex. une bio-région, entité spatiale cohérente traduisant une réalité géographique, sociale et historique). Les pratiques de décroissance et sobriété appliquées aux territoires doivent reposer impérativement sur des échanges et des débats, pour faire naitre un récit collectif et permettre que la modération, à l’échelle d’un territoire, soit un choix politique ainsi que d’associer les pratiques de sobriété à une notion d’identité collective (ex. : création d’éco-lieux où la sobriété est au centre d’une nouvelle culture de « l’habiter » ensemble construit collectivement).   Enfin, planifier la décroissance présente des défis et différentes expériences québécoises dans des milieux et à des échelles diversifiées en sont déjà des réalisations inspirantes. Par ailleurs, revoir ou revisiter les outils contribuant à la planification des territoires en font partie dont la solution élaborée par le Centre québécois du droit de l’environnement : l’évaluation environnementale régionale. En prolongement de l’atelier tenu lors de la Semaine de la transition en juin 2023, le webinaire vise donc à travers des échanges avec trois intervenants à approfondir et débattre sur ces questions ainsi qu’à soutenir et inspirer l’action par des exemples concrets : En prolongement de l’atelier tenu lors de la Semaine de la transition en juin 2023, le webinaire vise donc à travers des échanges avec trois intervenants à approfondir et débattre sur ces questions ainsi qu’à soutenir et inspirer l’action par des exemples concrets :<ul><li>DÉCROISSANCE, BIO-RÉGIONS, COMMUNS, MUNICIPALISME LIBERTAIRE<ul><li>Noémi Bureau-Civil, Co-Coordonnatrice du groupe de recherche, Polemos</li></ul></li><li>SOBRIÉTÉ TERRITORIALE/FONCIÈRE : APPROCHES ET EXEMPLES CONCRETS<ul><li>Valérie Ebacher, conseillère Aménagement et urbanisme, Vivre en Ville</li></ul></li><li>ÉVALUATION ENVIRONNEMENTALE RÉGIONALE COMME OUTIL DE PLANIFICATION<ul><li>Marc Bishai, avocat, Centre québécois du droit de l’environnement</li></ul></li></ul>Quelques mots de plus sur les intervenants Valérie Ebacher, Conseillère - Aménagement et urbanisme, Vivre en Ville B. Sc. Urb., URB. OUQ Valérie Eba<img src="https://res.cloudinary.com/hxn9dbuhd/image/upload/v1715616291/wj9ski521zxctjaa8kr2.png" style="width:140px;display:inline-block;vertical-align:bottom;margin:5px 15px 5px 0px;text-align:left;float:left;max-width:100%" />cher est urbaniste et titulaire d’un baccalauréat en urbanisme et d'aménagement du territoire et en urbanisme chez Vivre en Ville depuis 2021, elle s'intéresse particulièrement à l'aménagement de milieux de vie favorables à la santé, sobres en carbone et résilients. À cet effet, elle a activement participé à la rédaction du guide Collectivités en santé, des fiches Municipalités amies du climat - Exemples et du récent ouvrage Ouvrir le dialogue. Elle est aujourd'hui appelée à travailler, entre autres, sur l'utilisation durable des milieux humides et hydriques. Noémi Bureau-Civil, Co-Coordonnatrice du groupe de recherche, Polemos <img src="https://res.cloudinary.com/hxn9dbuhd/image/upload/v1715693693/k5loepywaem8zldbybng.png" style="width:143px;display:inline-block;vertical-align:bottom;margin:5px 15px 5px 0px;text-align:left;float:left;max-width:100%" />Noémi Bureau-Civil détient une maîtrise en physiothérapie, profession qu’elle a exercée pendant près de dix ans dans lesecteur public. À l’automne 2019, elle a coorganisé une conférence à Montréal intitulée « L’effondrement : La find’un monde, en construire un nouveau ? » portant sur la possibilité d’effondrements systémiques globaux et les pistes de solutions pour les éviter, les atténuer ou s’y préparer. Elle s’est présentée comme candidate indépendante aux élections fédérales de 2021 pour proposer la décroissance comme projet politique dans sa circonscription. Noémi est co-coordinatrice du groupe de recherche à but non lucratif Polémos-décroissance et s'intéresse particulièrement à la critique de la technique et au concept de biorégion. Marc Bishai, avocat, Centre québécois du droit de l'environnementTitulaire d’un bacc<img src="https://res.cloudinary.com/hxn9dbuhd/image/upload/v1715616400/ffc04k89ug3pl8eoxiuh.png" style="width:148px;display:inline-block;vertical-align:bottom;margin:5px 15px 5px 0px;text-align:left;float:left;max-width:100%" />alauréat en droit de l’Université de Montréal, Me Bishai est avocat de litige depuis 2007. Il pratique au sein de cabinets de petite taille jusqu’en 2012, en droit de la famille et en droit civil et commercial. Pendant cette période, il est auteur de trois articles publiés dans des revues de droit ontarienne et canadienne.Il se joint alors au Service du contentieux du Barreau du Québec, où il représente cet ordre professionnel devant les tribunaux régulièrement, notamment à la Cour d’appel, et agit comme conseiller juridique du Barreau du Québec. Il œuvre alors en droit administratif, pénal, civil et professionnel.Depuis 2015, Marc est un avocat du Centre québécois du droit de l’environnement parce qu’il a la conviction profonde que le droit de l’environnement regroupe les enjeux les plus importants du présent et de l’avenir.

Front commun pour la transition énergétique

SOBRIÉTÉ TERRITORIALE 2,0 / REGARD SUR LES VILLES ET LES TERRITOIRES DU FUTUR

En ligne - le lien sera transmis aux personnes inscrites

Admission générale

Gratuit