Incluant frais de poste

Version numérique

Le prix de 40$ n'inclut pas les frais de poste.

Publié aux Éditions Histoire Québec, le livre du centenaire de Saint-Just-de-Bretenières compte 964 pages et plus de 1 200 photos anciennes et actuelles. L’ouvrage est divisé en deux parties : la première porte sur l’histoire de Saint-Just, depuis la fondation, présentée en 5 périodes; alors que la deuxième partie dresse le portrait des familles d’hier à aujourd’hui, et comprend 175 dossiers familiaux.

La réalisation de ce projet a été rendue possible grâce au travail colossal de bénévoles, principalement de Louise Lefebvre auteure et conceptrice du livre, de même qu’avec la participation de toutes les familles et de bénévoles dévoués.

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Incluant frais de poste vers Ville de Québec

Nota bene : il s'agit d'une prévente, le livre sera disponible en février

Collection Fédération Histoire Québec
Auteurs: Marcel Fournier et Michel Langlois

Au retour de la paix en 1667, les autorités françaises ont voulu assurer la sécurité de la colonie en incitant une bonne partie des militaires du régiment de Carignan-Salières à demeurer en Nouvelle-France. Leur intention était de transformer les militaires en habitants sous promesse de gratifications, de distribution gratuite de terres et de fournitures d'outils et de vivres pour faciliter l'établissement. Il restait à leur procurer l'élément de stabilité le plus important: une conjointe pour former une famille. La politique d'envoyer dans la colonie des Filles du roi s'intensifia. L'on considère qu'au total 169 militaires sur 285 ont épousé une Fille du roi. Un nouvel avenir devenait possible pour la Nouvelle-France.

Jacques Mathieu
Professeur émérite. Université Laval.

La Rochelle, ville de mémoire, nous rappelle à juste titre M. Marcel Fournier. Cette ville a joué un rôle majeur dans notre histoire. Ce fut d’abord un port d’embarquement. Pour plusieurs des pionniers de la Nouvelle-France, les tours de La Rochelle sont la dernière image du continent européen qu’ils ont emportée avec eux. De plus, nombreux furent ses fils et filles à venir tenter l’aventure en Amérique. Par ses recherches, et en les identifiant un à un, l’auteur démontre clairement que La Rochelle a été, après Paris, la seconde ville en importance d’où sont originaires nos ancêtres. Il complète cette énumération avec un chapitre concernant les Français autres que Rochelais, qui se sont mariés dans cette ville avant de venir au Canada.

Ce prix comprend les frais de poste de 6$
Contactez-nous pour l'achat de plus d'un exemplaire au 514 252-3031

Collection Fédération Histoire Québec
Ce livre porte sur une famille méconnue, qui sort pourtant de l'ordinaire. Premier industriel de Beauharnois, son chef Joseph Barthélemy Robert, y a ouvert en 1858 une manufacture de laine qu'il a exploitée pendant plus de trente ans. Pionnier de l'hydroélectricité, il a électrifié la ville de Beauharnois et fondé la Beauharnois Light, Heat and Power. En 1927, cette entreprise sera vendue près de trois millions de dollars par ses héritiers. Fait remarquable, trois d'entre eux consacreront la majeure partie de cet argent à la philanthropie.
La famille de Joseph Barthélemy a ceci de particulier qu'il s'agit d'une famille mixte de cinq enfants, issue du mariage entre un Canadien français catholique et une Canadienne anglaise protestante. Une figure en émerge, celle de l'homme d'affaires montréalais Edmund Arthur Robert. D'abord fabricant de lainages, il aura comme son père des intérêts dans la production hydroélectrique et se fera en outre élire député libéral de Beauharnois à Québec, au faite d'une carrière de magnat des tramways et de président de l'Imperial Trust.
En deux générations, les Robert auront imprimé leur marque dans l'économie et dans le paysage.

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Marie-Ange Leduc a entre 19 et 29 ans quand elle mitraille de sa caméra ses neveux, sa nièce et ses fils. Par la magie de ses images, les couples se forment, les petits naissent, grandissent, envahissent la rue. En toile de fond, le quartier Laurier Est émerge de la terre. C’était il y a cent ans.

* * *

« J’ai suivi ces récits, je dirais, rue par rue, maison par maison, et bien sûr saison après saison. La première raison de mon goût pour ces chroniques, c’est mon amitié pour Dominique Nantel Bergeron, et parce que la regarder remonter son arbre pour en cueillir les fruits les plus tendres, ceux de l’enfance, me permettait de mieux la connaître. Le fait que ce soit dans son cas un pommier ne m’a pas empêché d’y voir un manguier. De faire miennes des émotions si intimes de sa part qu’elles caressent la racine de sa sensibilité. Plus Dominique remontait dans le temps, plus nos branches s’entrelaçaient. Mais la raison, c’est son ton calme.

Qui n’exclut pourtant pas la guerre, ni les difficultés d’une époque imprévisible, et surtout sa capacité à croiser de grands événements à de vifs éclats de la vie la plus ordinaire. C’est de ce frottement que jaillit l’émotion qui, elle, touche au cœur. »

Dany Laferrière, 5 août 2023

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Ce livre présente l’histoire de la famille Treggett. Pendant quatre générations, cette famille a perpétué la coutume qui voulait que les surintendants aient habité le cimetière avec leur famille. À travers des textes, anglais et français, mais surtout des photos d’archives, nous apprenons qu’il peut y avoir de la vie dans un cimetière.

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Cet ouvrage s’appuie sur deux références de base afin de retracer les habitants de la seigneurie de l’île Sainte-Thérèse à deux époques différentes, soit lors du premier recensement de 1681 et lors de la confection des aveux et dénombrements de 1723.
Ces deux références ont permis de décrire les seigneurs et censitaires qui ont habité l’île durant ces deux époques. Le lecteur pourra découvrir le nom des occupants et de leur famille pour ce qui est du recensement et pour ce qui est des aveux, de localiser, en plus, les terres qu’ils ont habitées.

Bonne lecture afin de découvrir non seulement les personnes mais aussi leurs origines et les métiers qu’ils exerçaient, en plus de cultiver leur terre sur la seigneurie.